dimanche 13 avril 2008

Histoires pour se faire entendre

Après le déni de démocratie (référendum du 29 Mai), le premier prix d'hypocrisie (municipale 2008), le mensonge (les agitations viennent de syndicats non représentatif), la lâcheté (la base élève -censée améliorer l'efficacité scolaire- issue de la loi prévention de la délinquance (!!) est une application eugéniste). L'usage du pouvoir est bien curieux;
Nous devons faire preuve d'imagination et d'intelligence pour nous faire entendre .... A vos claviers

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour,

Je suis comme beaucoup de citoyennes très inquiète pour l'avenir de l'école. Même si je trouvais qu'il y avait pas mal de chose à améliorer et que certains archaïsmes auraient eu besoin d'être dépoussiérés.
Je suis donc mobilisée pour défendre ce service public comme l'hôpital d'ailleurs. Mais je sais aussi qu'une mobilisation différente doit être mise en place. Les jours de grève ne sont plus acceptables pour une partie de la population et les parents en difficulté pour les gardes d'enfants. Ils sont contre productifs et alimentent le discours des profs toujours en grève, corporatifs et privilégiés. Argument que le gouvernement utilise avec beaucoup de bonheur d'ailleurs. C'est se donner des bâtons pour se faire battre. Il faut penser différemment pour être entendu, innover, créer des électrochocs. Pourquoi pas des actions événements régulièrement les samedis matin ? Enterrement de l'EN en grande pompe? Cours magistraux devant le capitole, etc..
Ce ne sont que des pistes mais c'est urgent de surprendre les politiques en communiquant autrement. Pourquoi ne pas faire appels aux parents artistes plasticiens, acteurs ?
Bon courage

Yvonne

Unknown a dit…

Bonjour.
Je pense qu'il serait utile, pour qu'on s'y retrouve, que l'origine de chaque texte publié sur ce blog soit précisée, au moins sous la forme "parent ou prof ou élève, syndicat s'il y a lieu, et établissement". Qu'en pensez-vous ?

Véronique, parent et prof LVH Colomiers.

Coordination Parents/Prof./Elèves a dit…

Bonsoir,

Nous nous sommes posé la question,
les choix retenus sont de laisser chacun libre de s'exprimer et de s'identifier.
La limite qui a été fixée repose sur la validation par un des modérateurs des
écrits [uniquement pour limiter les écrits illégaux]. Nous sommes dans cette
aventure avant tout citoyen, peu importe d'où vienne l'idée du moment qu'elle
est bonne.
Il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'un lieux destiné à centraliser
l'information relative aux manifestations .. et non d'un lieux d'expression
politique ... quoique que !
Cordialement
Pierre-Louis Delaunay (FCPE)